7 juillet 2014
1
07
/07
/juillet
/2014
17:09
Un jour heureux de mai 1984 vous vîntes à Paris. J'eus alors l'honneur de vous serrer la main. Notre entretien tête à tête dura plus de cinq minutes. C'est long, quand on a le privilège de rencontrer celui qui fut une de vos idoles de jeunesse. Vous étiez un footballeur incomparable, mais aussi un grand monsieur, un homme d'une noblesse sans égale. Toute comparaison avec le présent serait une injure à votre mémoire. Alfredo Di Stefano, vous êtes aujourd'hui entré dans l'éternité du ballon rond.
ADM, le 7 juillet 2014