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12 janvier 2020 7 12 /01 /janvier /2020 14:53
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12 janvier 2020 7 12 /01 /janvier /2020 08:26
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12 janvier 2020 7 12 /01 /janvier /2020 08:17
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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 23:49
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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 23:18

J’ai honte. Au sud de l’Egypte, en territoire soudanais, des archéologues travaillent sur les vestiges du royaume de Koush, dont, jusqu’à ce soir, j’ignorais l’existence. Entre les VIIIe et VIIe siècles avant JC, les souverains de Koush, appelés aussi les pharaons noirs, parvinrent à conquérir l’Egypte, fondant  un empire qui s’étendit du nord de l’actuelle Khartoum aux rives de la Méditerranée, avant que les Assyriens n’envahissent la contrée.

Dans des paysages d’une rare beauté, nous suivons pas à pas les découvertes des archéologues, admirons les multiples pyramides, sommes émus par la beauté des fresques dans les tombeaux, partons à la quête de l’ADN des corps retrouvés dans un état étonnant...

Malheureusement des projets de barrage sur le Nil risquent de faire disparaître à tout jamais l’un de ces superbes patrimoines de l’Humanité.

Le doc de David Starkey (2019) diffusé ce samedi soir sur Arte était bouleversant. Que nous étions loin de la barbarie que nous imposent les médias !  Durant de précieuses minutes, j’eus le sentiment de connaître l’ataraxie chère à Démocrite et Lucrèce.

ADM, le 11 janvier 2020

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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 20:40
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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 20:37
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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 20:30
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10 janvier 2020 5 10 /01 /janvier /2020 11:57
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10 janvier 2020 5 10 /01 /janvier /2020 11:11

Ils sont une petite cinquantaine, forcent les portes de l’amphithéâtre, se précipitent sur les tables où planchent des jeunes, arrachent les copies, les déchirent, brûlent les lambeaux et vont se réunir en assemblée générale. Ils seront en tout moins de 250. Pour mémoire Rennes 2 compte plus de 14100 étudiants...

S’en suivra sans doute une beuverie dans l’une de ces nombreuses ruelles malfamées de la capitale bretonne.

Qu’importe le destin de ceux et celles qui doivent travailler pour payer leurs études ou encore sont venus de fort loin (voir presse locale). Eux ont les moyens de ne pas se préoccuper du sort de ces « sans rien » qui ont réussi à franchir la ségrégation économique. L’essentiel est qu’ils ont obtenu le report des examens.

Le président de l’Université condamne - wouah - « énergiquement » cet acte dégueulasse. Que risquent les agresseurs ? Apparemment rien ou si peu. 

Il en va ainsi à Rennes. Dire qu’au milieu du XIIIe siècle, la Sorbonne  apparaissait comme un îlot de modernisme. Alors Rennes 2, retour vers les temps barbares ou préfiguration des heures sombres que vont connaître les générations futures ?

ADM, le 10 janvier 2020.

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