Sandrine Rousseau, j’ai une telle confiance en vous que je me permets - souffrez mon insolence - de vous attribuer le statut de sainte. Chacune de vos paroles est pour moi la garantie d’atteindre le firmament de la vérité.
Ainsi, je vous ai soutenue lorsque vous vous réjouissiez d’accueillir sur notre sol tous les Afghans « afin de mieux les surveiller. »
Or il se trouve qu’un mineur afghan de quinze ans, bien connu des services de police, a tué un jeune homme de quinze ans qui ne demandait qu’à vivre.
Que s’est-il passé sainte Sandrine ? Où étiez-vous ? Comment désormais puis-je encore vous rendre grâce ? J’aimerais bien vous donner un « coup de main », mais vous risqueriez de me poursuivre pour violence du genre, sinon du sexe.
Par pitié, sainte Sandrine, apportez-moi la sainte communion qui me permettra de continuer à prêcher votre gloire au plus haut du wokisme.
Mururoa, le 28 avril 2024