Alors variant Véran,

Qu’en est-il à l’instant - je sais, à chaque seconde, sa vérité - de vos élucubrations sur le vaccin AstraZeneca ? Un jour, il est bon pour les moins de cinquante-cinq ans et mauvais pour les plus âgés ; le lendemain, c‘est l’inverse !

Voilà que, maintenant, le bricolage-tripatouillage vous incite à préconiser un mélange avec un autre vaccin...sans aucun retour d’expérimentation ! Nous sommes perdus, votre grandeur grandiloquente, sûre d’elle-même et dominatrice.

Cher variant Véran, je suppose que vous aspirez à devenir le futur prix Nobel de médecine. Hélas, avant cette distinction, vous pourriez être appelé à devoir rendre des comptes devant le peuple souverain. Et, svp, pas de coup de gueule grotesque comme celui que vous avez poussé devant la représentation nationale pitoyablement insultée. Nous n’apprécions guère les postures véreuses. Contentez-vous donc de faire votre boulot ou démissionnez ! Une majorité de Français vous en saura gré.

ADM, le 10 avril 2021